Investissements routiers : Chaudière-Appalaches obtient 472 millions $

APPALACHES – La région de la Chaudière-Appalaches a obtenu une large part de gâteau alors que Transports Québec a récemment annoncé des investissements de 4,9 milliards $ afin de maintenir les actifs routiers de la province. Avec 472 millions $, la région arrive au troisième rang derrière Montréal et la Montérégie.

Dans la MRC des Appalaches, cet argent profitera entre autres au chantier de la route 112 entre Black Lake et Saint-Joseph-de-Coleraine. Les autoroutes 73 et 20 et le pont Pierre-Laporte en seront également de grands bénéficiaires.

« Ces investissements dans le réseau routier auront des retombées positives pour la région de la Chaudière-Appalaches. La poursuite des travaux de prolongement et de doublement des  voies de l’autoroute 73 en Beauce figure parmi les projets qui seront bénéfiques tant sur le plan de la sécurité que de l’économie. Par ailleurs, le projet de réfection majeure du tablier du  pont Pierre-Laporte constitue un exemple concret du souci du gouvernement de maintenir les infrastructures en bon état », a affirmé la ministre responsable de la région et député de Bellechasse, Dominique Vien.

Maintenir les infrastructures

Les investissements sur le réseau routier québécois s’étaleront de 2014 à 2016. Cela inclut 208,7 millions $ en contributions de partenaires du gouvernement du Québec. Ce montant permettra de maintenir la proportion de chaussées et de ponts en bon état, partout dans la province.  

« Par ces investissements, le Ministère s’assure de la poursuite de travaux essentiels sur les infrastructures routières, en priorisant la sécurité et la mobilité des usagers. Il s’agit d’un objectif fondamental de maintenir la qualité du réseau routier québécois et de ses infrastructures, tout en favorisant l’économie et la création d’emplois », a affirmé le ministre des Transports, Robert Poëti.

Concrètement, près de 36 300 emplois seront créés ou maintenus par ces travaux. « Cette programmation des travaux routiers constitue un exercice responsable, qui vise l’équilibre entre l’économie, les besoins en infrastructures ainsi que notre capacité collective et réelle de payer », a précisé le ministre.