Marie-Lyne Trépanier présente son deuxième roman à caractère historique

À la suite du succès obtenu avec son premier roman portant sur les Filles du roi, l’écrivaine Marie-Lyne Trépanier récidive avec un second ouvrage, le roman historique «Ententes à l’anglaise». 

Le récit relate les événements historiques des années 1837 à 1842 et met en scène des personnages tantôt réels, tantôt fictifs, très attachants. Inspirée par les romans d’époque, l’auteure transporte cette fois le lecteur à la fin de la rébellion des patriotes et au début de la guerre d’Aroostook, un conflit frontalier opposant l’Amérique du Nord britannique, aujourd’hui le Canada, aux États-Unis.

Selon Mme Trépanier qui a grandi à Thetford Mines, sa seconde expérience de publication a été plus difficile que sa première. En effet, elle avait signé avec les Éditions de la courte échelle, mais l’entreprise a fait faillite deux mois plus tard. Heureusement pour l’auteure, son premier éditeur lui a offert un second contrat de publication.       

Fière de sa première expérience, Mme Trépanier avait participé à tous les salons de l’Association québécoise des Salons du livre ainsi qu’aux Fêtes de la Nouvelle-France à Québec. Son premier roman a d’ailleurs été sélectionné parmi les 81 titres québécois adaptables à l’écran.

Résumé du livre

«Ententes à l’anglaise» se résume ainsi : enfermé à la prison du Pied-du-Courant, le père d’Abélia ne sera pas pendu, mais il sera exilé. Lui et d’autres patriotes se retrouvent donc incarcérés dans une prison australienne et peinent à survivre à leurs misérables conditions. C’est le début d’un long cauchemar. Pour leur sécurité, Abélia et son frère doivent quitter Montréal pour se rendre chez leur tante à Fredericton. La jeune femme fera la rencontre de Bruce Spencer, un prospère commerçant anglais respecté par la population; il sera rapidement envoûté par le charme d’Abélia. Pourtant, cet homme incarne tout ce qu’elle déteste. Le destin rapprochera-t-il ces deux êtres aux valeurs opposées? (CF)

La romancière sera en séance de dédicace à la Librairie L’Écuyer située au Carrefour Frontenac, le dimanche 20 mars, de 13 h à 16 h.