Marc-Alexandre Brousseau est fier de son bilan 

C’est avec un grand enthousiasme et un désir de poursuivre son service aux citoyens que le maire sortant et candidat à la mairie de la Ville de Thetford pour les élections du 7 novembre prochain, Marc-Alexandre Brousseau, sollicite pour un troisième mandat l’appui des Thetfordois et Thetfordoises. Il entame cette course électorale en misant sur un fort bilan de ses huit premières années à la mairie.

« Avec moi, la population sait à quoi s’attendre, soit une gestion efficace ainsi qu’un maire présent et dévoué prônant des valeurs alignées sur les siennes », mentionne Marc-Alexandre Brousseau. Le travail effectué avec les élus et l’équipe administrative a été stimulant au cours des deux premiers mandats et il entrevoit avec optimisme la tâche avec les personnes que la population choisira lors du scrutin.

Le maire sortant se dit fier d’avoir présidé le conseil municipal qui a su revoir l’image de marque de la Ville et rehausser sa notoriété, travailler avec un comité organisateur efficace pour la tenue des Jeux du Québec, en plus de la mise en place du centre de congrès, de l’investissement massif dans les infrastructures de pavage et l’assainissement des eaux, de l’agrandissement du parc industriel et de l’étendue du réseau cyclable. À cela s’ajoute le legs d’une situation financière solide aux prochains élus.

Lors du prochain mandat, Marc-Alexandre Brousseau a l’intention de proposer aux membres du conseil municipal de poursuivre sur cette même voie et d’augmenter chaque année le budget de pavage du réseau routier. Il estime également que les citoyens peuvent être rassurés à propos de leur compte de taxes municipales étant donné les résultats des huit derniers processus budgétaires. 

« Pour une résidence de valeur moyenne desservie, les taxes ont été augmentées de seulement 14,75 $ par année malgré les millions de dollars engloutis annuellement dans le dossier de l’amiante, l’augmentation des exigences gouvernementales et l’inflation subie par la Ville. Heureusement, la croissance a été au rendez-vous, ce qui a permis d’épargner les contribuables », conclut-il.