Luc Berthold veut continuer de servir la population de Mégantic-L’Érable
La grande priorité pour Luc Berthold s’il est élu pour un troisième mandat comme député de Mégantic-L’Érable sera de travailler avec les entreprises de la région pour mettre en place la main-d’œuvre nécessaire afin que le développement économique puisse se poursuivre.
En conférence de presse lundi pour le lancement de sa campagne en vue des élections fédérales du 20 septembre prochain, le candidat du Parti conservateur du Canada (PCC) a identifié plusieurs dossiers qui retiendront son attention. Il s’agit de l’augmentation inquiétante du nombre de féminicides et de cas de violence conjugale, l’accès à Internet haute vitesse, la réhabilitation des terrains miniers dans la MRC des Appalaches et la rivière Bécancour. Du côté national, le déficit et les dépenses du gouvernement libéral le préoccupent particulièrement.
Même s’il promet une campagne qui sera propre et sincère, le député sortant assure qu’il sera toutefois très combatif puisque qu’il souhaite poursuivre son travail dans la circonscription. « J’ai encore à cœur de servir les gens de Mégantic-L’Érable. Le respect pour moi est une valeur fondamentale et respecter les électeurs, c’est respecter les autres candidats. Je souhaite donc la bienvenue à tous dans cette campagne. »
Luc Berthold est également revenu sur le travail de son équipe et lui au cours des 18 derniers mois. L’accompagnement des citoyens et des entreprises a en effet pris toute la place en cette période d’incertitude. Il déplore d’ailleurs que Justin Trudeau ait choisi ce moment afin de déclencher des élections, en pleine pandémie, alors que son bureau reçoit encore des dizaines d’appels par jour de gens ayant besoin d’assistance.
« Malheureusement, mon équipe qui répond à ces personnes sera coupée aux deux tiers puisque nous devons nous consacrer à une campagne électorale », a-t-il expliqué.
Au cours des prochaines semaines, le candidat conservateur continuera à être très actif sur le terrain en allant à la rencontre des gens, en étant à leur écoute et en présentant les propositions politiques de son parti.
Enfin, il a assuré que les divergences de points de vue au sein du PCC ne seront pas des obstacles s’il est élu au pouvoir. « C’est la richesse du Parti conservateur de permettre à chacun de ses membres de pouvoir s’exprimer et d’avoir une voix. La force qui va tenir tout cela, c’est notre chef Erin O’Toole. C’est un chef progressiste qui regarde vers l’avant et qui représente très bien les valeurs du Québec, de l’Ontario et du reste du Canada. Je pense honnêtement que nous sommes un parti où plusieurs personnes peuvent se retrouver et qui partage les mêmes priorités que la plupart des citoyens canadiens. Il n’y a personne qui va gérer son budget familial comme Justin Trudeau est en train de le faire avec notre budget national. Ce sont des valeurs qui nous unissent et nous allons tabler là-dessus pour former un bon gouvernement », a-t-il conclu.