Un premier roman pour Frédéric Vachon
L’enseignant Frédéric Vachon de Thetford Mines tiendra un après-midi rencontre à la Librairie L’Écuyer, le samedi 27 janvier, entre 11 h et 15 h, dans le cadre de la sortie de son tout premier roman intitulé «Ataxie transsynaptique – L’évasion».
Cet ouvrage est un polar très contemporain dont l’intrigue se déroule à l’ère où le terrorisme international constitue encore et toujours une menace potentielle aux bases de notre civilisation. Il est conçu sur mesure pour le plus grand plaisir des amateurs de suspense, d’espionnage, ainsi que d’émotions fortes.
Publié aux éditions de l’Apothéose, Ataxie transsynaptique – L’évasion est disponible en librairie depuis le mois de décembre. Abordé selon l’angle d’une petite histoire s’inscrivant dans une plus grande, le roman raconte la vie de Thomas Vaillancourt, détenu d’un pénitencier sur le point de s’évader.
Reconnu coupable d’avoir perpétré un attentat terroriste, on en apprend sur le passé de cet homme motivé à l’idée de sortir et de connaître, une fois pour toute, l’identité d’un personnage aux multiples visages qui a indirectement contribué à son incarcération.
Une jeunesse trouble marquée par des rencontres toxiques, dont celle de l’incontournable Skizz, qui deviendra son complice et ami, sera l’une des prémices à une multitude de changements dans la personnalité de l’ainé de la famille Vaillancourt. Quelques années plus tard, des idéaux brisés, une vie professionnelle qui tournera au vinaigre, ainsi que la lente agonie de sa sœur malade qu’il aimait du plus profond de son être auront finalement raison de cet homme, un idéaliste au grand potentiel, et le feront basculer dans la déchéance.
Doté de personnages par moments caricaturaux, Ataxie transsynaptique – L’évasion fait plonger le lecteur dans un univers où le nihilisme est omniprésent. Tout au long des péripéties vécues par son personnage principal, un anti-héros, l’auteur traite du modus operandi de la transformation de l’être qui, petit à petit, telle l’eau usant les berges d’une rivière arrive, après un temps, à refaçonner d’une façon définitive les esprits. Certains lecteurs reconnaîtront le style très cinématographique emprunté par l’auteur puisque cette histoire avait d’abord été rédigée sous forme de scénario.