Un spectacle tout en humour et en chanson

Le spectacle-bénéfice organisé par les Loisirs Aramis qui se tiendra à Disraeli, le vendredi 28 avril, était tout désigné pour l’artiste invité, François Léveillée.

«Je m’implique toujours dans des causes, je m’occupe entre autres de la fondation Le grand chemin qui vient en aide aux jeunes avec des problèmes de toxicomanie, d’alcool et de jeu compulsif. Je me suis aussi impliqué avec la Maison Jean Lapointe, Leucan et bien d’autres projets. C’est dans ma philosophie de faire des shows pour aider les jeunes», a-t-il expliqué dans un entretien téléphonique avec le Courrier Frontenac.

L’organisme les Loisirs Aramis s’est donné comme mission d’aider les jeunes démunis à s’inscrire à des activités sportives et de loisirs gratuitement. Pour se faire, beaucoup d’argent doit être amassé afin de pouvoir offrir la possibilité à ces enfants de s’épanouir, vivre des réussites et bien sûr s’amuser. En plus de favoriser de saines habitudes de vie, cela leur permet aussi de côtoyer des adultes significatifs et positifs.

Humour et chansons

Le spectacle qu’offrira François Léveillée comportera de l’humour et des chansons. Il sera notamment accompagné de deux musiciens. «J’ai commencé comme auteur-compositeur-interprète dans les années 1970 et 80, ensuite je suis allé vers l’humour. Il y a cinq ans, ma fille qui est aussi une artiste de la chanson est venue me voir et m’a raconté qu’elle voulait faire un album. Comme c’était également mon objectif, nous avons mis sur pied notre propre compagnie de disque. Nos albums sont sortis en 2012 et nous en avons eu un récent en 2016», raconte-t-il.

Pour sa nouvelle tournée qui s’est amorcée en 2015, François Léveillée trouvait l’idée de mélanger l’humour et la chanson intéressante. Les thèmes que j’aborde dans mes chansons sont les mêmes que dans mes spectacles. Les deux se marient bien. J’ai enlevé les personnages parce que je trouvais que ça cadrait mal dans la structure du show. Au début, les gens le demandaient, mais plus maintenant parce qu’ils le savent que je n’en fais plus.»