Un point commun entre le dossier de l’amiante et celui du transport adapté?

Je dois admettre que j’ai des félicitations à offrir au maire de Thetford Mines, Marc-Alexandre Brousseau, concernant l’article du 30 mars dans le Courrier Frontenac ayant pour titre « Les intervenants locaux veulent faire partie des discussions ».

Non pas sur le sujet de l’amiante auquel je n’y connais absolument rien, mais sur le point commun entre ces deux sujets qu’est la nouvelle approche participative aux démarches dont il semble vouloir désormais reconnaitre l’importance d’application et sur laquelle il a beaucoup insisté dans son article.

Et je le cite lorsqu’il mentionne « l’importance de l’enjeu majeur du dossier; de faire partie des discussions; d’asseoir les intervenants autour de la table pour discuter, partager, échanger ensemble et répondre réellement aux attentes du milieu; que cela aurait été tellement plus simple si nous avions été impliqués dans la démarche ».

Compte tenu de cet article, dans lequel le maire confirme les fondements d’une bonne négociation, je me permets ici de lui rappeler qu’en tant que ville mandataire du dossier du transport adapté de la région de Thetford, toujours en litige, appliquer son propre principe et s’assoir avec tous les intervenants impliqués est encore possible à ce jour pour dénouer la situation et démontrer une réelle intention de trouver des solutions. Je le cite à nouveau : « Respecter les acteurs du milieu et les inclure dans la démarche ».

C’est en fait une question éthique qui fait référence à des valeurs, des normes, des comportements et à des raisons que se donnent les membres d’une société progressiste soucieuse de l’équilibre économique tout autant que du bien-être de l’humanité.

Merci à vous, M. Brousseau, de démontrer l’exemplarité d’un leader juste qui se préoccupe des besoins de toute la région et d’un leader fort, capable de permettre un retour à la table des discussions.

Louisette Pouliot, mère d’un usager du transport adapté

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